Histoire de géobiologie

Mes amis risquons-nous dans une hypothétique histoire de la géobiologie à travers les lignes d’espaces/temps. Rappelons-nous d’abord ce qu’est la géobiologie. Du grec ‘’Géo’’ la Terre, ‘’Bios’’ la Vie et ‘’Logos’’ Science où Etude. Soit : L’étude de l’influence de la terre sur le vivant, ou encore : Science de la vie sur Terre.

Dans les temps immémoriaux 

Hippocrate, dans son traité qu’il aurait écrit en 430 avant J-C ‘’ des Eaux, des Airs et des Lieux ‘’ nous aurait dit : Celui qui veut se perfectionner dans l’art de guérir considèrera comment l’endroit est disposé, et s’informera du sous-sol, concurremment avec la constitution des êtres vivants …

  Avant cela en Inde nous retrouvons dans une annexe des Vedas un principe de géobiologie par le Vaastu Shastra.

Celui-ci engendrera en Chine son cousin beaucoup plus connu, le fameux Feng Shui (Vent et Eau).

Nous retrouvons des traces de pratiques de géobiologie dans toutes les époques et sur tous les continents à travers la planète. Que ce soit chez les Etrusques, les Romains, les Egyptiens jusqu’à nos Templiers bâtisseurs de cathédrales et d’église romanes, tous on utilisé la configuration spécifique des Haut Lieux tellurique. 

Cette pratique de géobiologie a prit de très nombreuses formes à travers les âges. De celles qui peuvent nous paraitre des plus improbables comme dans l’Antiquité où l’on parquait des moutons sur l’emplacement des futurs lieux de construction. On positionnait chaque animal dans un espace restreint  et après une année d’immobilisation voir plus longtemps pour certain lieux de vie, on les tuait et l’on regardait à travers leurs viscères l’impact du sous-sol sur le vivant.

 Nous pouvons aussi parler des Maître du Chi lors de la construction de la Cité Interdite du Palais Impérial de Pékin. Ces initiés du Feng Shui ont fait creuser une rivière artificielle qui ondule à travers la cour extérieure pour protéger les palais centraux.

Un dernier exemple, et peut être un des plus mystérieux, dans les temps immémoriaux avant de se rapprocher de notre époque, les Mégalithes (grandes pierres).  Nous pouvons peut être parler de civilisation Mégalithique puisque nous retrouvons leurs traces sur l’ensemble de la planète et ce, sur une durée estimée, par les archéologues,  à plus de dix milles ans.

Je vais me permettre une digression spatiaux temporelle. Sommes-nous sur la même ligne espace/temps et/ou niveau vibratoire que ces bâtisseurs ?

 Prenons le cas du site considéré actuellement comme étant le plus anciens : Göbekli Tepe dans l’actuelle Turquie. Datation officielle : 12 000 ans. Soit au néolithique précéramique. Une époque où nos lointains aïeux devraient être des chasseurs-cueilleurs non sédentaire.

Sur ce site on trouve, dans sa partie la plus ancienne, de nombreux cromlechs (cercle de pierres) qui démontrent un degré impressionnant de savoir- faire technique. Mais aussi un grand nombre de piliers en forme de T dont certain culminaient à plus de 5 m. Ils sont décorés de reliefs d’animaux, de silhouettes humaines, de symboles abstrais.

Pour beaucoup de ces cromlechs à travers le monde nous pensons qu’une de leurs fonctions premières devaient être astronomique. Celui-ci ne déroge pas à la règle et d’après les recherches son implantation et le fait d’avoir trouvé un alignement particulier de ces fameux T avec une pierre percée, nous indique que l’édifice  semble avoir été bâti pour suivre un cycle stellaire. Celui de l’étoile polaire qui dure 25 800 ans. Il y a, pour ma part, une réelle interrogation quand à la capacité de chasseurs-cueilleurs, en tous cas tels que l’on nous les présente, de cette époque à réaliser un tel édifice.

On retrouve des constructions mégalithiques allant d’après les archéologues  de – 10 000  en Turquie à – 1 000 en Corée. Elle semble suivre un parcours au cours âges et sont disséminées sur tous les continents.

En France la datation des plus anciennes est estimé à environ  – 6 500 ans avant J-C. Celles-ci sont souvent associées au Celtes. L’hypothétique, car ce n’est qu’une hypothèse,  civilisation proto-celtique daterait de l’âge de bronze tardif, soit à partir de – 1 350. Ce ne sont donc pas ces ‘’Celtes’’ qui auraient été les constructeurs de ces monuments même si beaucoup de civilisation post mégalithique s’en sont servi comme sépulture et lieux de cultes.

Autre exemple incroyable qui est sensé toujours se passer à l’aire du néolithique, est l’érection du Menhir (pierre levée) d’Er Grah situé sur la commune de Locmariaquer dans le Morbihan. Voilà que nos amis chasseur-cueilleur érigent une pierre de plus de 20 mètres de haut, 3 mètres d’épaisseur pour un poids d’environ 280 tonnes … Et ils ont réussi cette performance herculéenne, dans des proportions moindres, des centaines de fois rien que sur le territoire français … Sans parler des murs cyclopéens que l’on trouve aussi un peu partout à travers le monde. Qui sont ces constructeurs et qu’elles étaient leurs techniques ? Mystère. Arrêtons là notre digression.

Nous savons qu’un menhir, au niveau de la géobiologie, n’est jamais implanté au hasard, pas plus qu’un cromlech ou un dolmen. Ils font même partis des plus anciens exemples du savoir cosmo/tellurique auxquels nous pouvons encore avoir accès. 

Plus proche de nous

Ce que nous nommons maintenant la géobiologie est parfaitement reconnu est intégrée dans la société jusqu’au XVII eme siècle. On fait appel au rhabdomancien, terme d’alors pour désigner le radiesthésiste, pour son rôle de sourcier (sourcelleur) mais aussi dans celui de conseil. Il est en effet consulté pour des diagnostics médicinaux, dans l’agriculture pour indiquer les champs qui saurons les mieux adaptés à un type de culture, par le secteur minier pour trouver les différents filons à exploiter, etc…

L’âge sombre de la géobiologie

Bref son activité est reconnu et parfaitement adapter à son temps. Mais arrive le fléau du bras armé de l’église, qui a pourtant accueilli en son sein de très grand chercheur en radiesthésie,  la ‘’ Sainte Inquisition ‘’. 

Celle-ci aide le roi Philippe le Bel le 13 octobre 1307 à faire chuter les Templiers. Ceux qui avaient lors de leur premier périple en ‘’ terre sainte’’ compléter leur savoir sur ‘’l’énergie de la terre’’ dans les écoles des mystères d’alors. Ceux qui grâce à ce savoir avaient réalisé, entre autre, les cathédrales romanes chefs d’œuvre architectural mais aussi vibratoire.

L’inquisition ne s’arrêtera pas en si bon chemin et continuera sa campagne de destruction de toute véritable spiritualité, liberté de pensée où de ressenti. Qu’ils soient guérisseurs, penseurs, expérimentateurs,  pratiquant de sourcellerie où de sorcellerie nombreux sont ceux qui finirent sur un bûcher. Le savoir géobiologique dû se cacher et n’a perdurer que dans le secret.

Après avoir subi les foudres de l’église arriva la reconstruction de la pensé sous l’égide de René Descartes. Cette construction fut donc établie sur des ‘’ Je pense, donc je suis ‘’. Il mettra en avant la méthodologie pour diriger la raison. Par cette brèche vont s’engouffrer les scientistes matérialistes. Nous devions donc nous reconstruire dans le pur mental et la ‘’Sainte Inquisition’’ de se transformer en ‘’Sainte Science’’ omnisciente. Nous voilà donc réduit à tout faire passer par le filtre du mental et à adhérer au Scientisme, cette nouvelle religion limitente et cartésienne. Quid du ressenti ? Laissons ça aux animaux. Ne sommes-nous pas nous même des animaux ? Peut-être mais ‘’intelligent’’ et au sommet de la chaine. 

C’est oublié, dans cette société qui se revendique de Descartes, que ce brave homme croyait en ‘’ l’âme ‘’ humaine et à des forces plus grandes que cet amas d’atomes.

Nous voilà donc, du point de vue de la géobiologie, dans l’œuvre au noir alchimique. Après le vivre caché dû à la répression de la religion, nous voilà raillé par la Grande Science qui n’admet qu’une voie : la sienne. Purement mentale et matérialiste.

Renaissance 

Cette renaissance de la géobiologie n’a de sens bien évidement uniquement dans les pays occidentaux. Les ‘’bon sauvages’’, eux, n’ont jamais perdu leurs connexions avec la nature et la terre mère.

Nous trouvons toujours, et même dans les temps les plus obscurs, des ‘’illuminés’’, à fortunes diverses, curieux et intrépides qui porterons leurs croyances en la terre et à son pouvoir.

Quelques sociétés dite ‘’secrète’’ où initiatique feront perduré une partie de ce savoir par le prisme de leurs croyances.

Il faut attendre la fin du XIX eme siècle pour voir émerger des hommes voulant démontrer de façon ‘’scientifique’’ l’existence et les effets des énergies telluriques sur le vivant. Ils approfondiront le savoir des sourciers et des radiesthésistes. Quelques-uns publieront des écrits et deviendront précurseurs dans leurs domaines.

Beaucoup de ces chercheurs en géobiologie  seront pris par le mal de leur temps, celui du scientisme et voudront que leurs travaux soient reconnus par la science matérialiste. Tendance qui continue encore de nos jours chez certain chercheurs.

Chaque géobiologue a son ‘’champion’’, celui qui a amener la géobiologie vers ces lettres de noblesse et fait connaître cet ‘’art’’ au commun des mortels.

Qu’on ne si trompe pas, je suis reconnaissant et admiratif de l’abnégation et la détermination dont on fait preuve tous ces grands nom de la géobiologie. Il se trouve que nous sommes dans un changement de paradigme et que, de mon point de vu, cette recherche de reconnaissance auprès de la science matérialiste n’est plus nécessaire voir limitente.

Voici donc quelques-uns de mes illustres prédécesseurs. Cette liste, très courte, est évidement non exhaustive et je m’excuse par avance au prés de mes confrères si j’ai omit leur ‘’champion’’.

Quelques illustres modernes de la géobiologie de l’habitat

1788 l’écossais James Hutton, géologue/naturaliste/chimiste et médecin, publie ‘’La Théorie de la Terre’’. Il y pose les bases de l’évolution de la géologie du globe terrestre en rapport avec la biosphère, et par conséquent, avec le vivant.

1899 Le philosophe italien et professeur d’anthropologie Tito Vignoli publie dans la revue ‘’Journal des sciences biologiques’’ un article intitulé ‘’Notes sur un traité de géobiologie’’ sur les lois gouvernant la planète Terre et le vivant.

1907 dans le Nouveau Larousse Illustré, Dictionnaire Universel Encyclopédique – Volume supplémentaire de 1907 première apparition du mot géobiologie.

1929  le baron Gustav Freiherr Von Pohl, éminent radiesthésiste allemand, fait une étude statistique à Vilsbiburg en Bavière qui démontre la relation existante entre cancer et zones géopathogènes. Cette étude fera de nombreux émules à travers l’europe, essentiellement dans le milieu médical.

1937 François Peyré, médecin normand, est le premier à émettre l’hypothèse qu’un réseau géomagnétique vibratoire parcourt la terre et pourrait interférer avec le vivant.

1948 Ernst Hartmann, médecin allemand, se rend compte que les traitements prescrits à ses patients n’ont pas les résultats escomptés. Il prend conscience de l’importance de la qualité de l’habitat, et particulièrement de l’emplacement du lit des patients. Dès lors, il va s’intéresser plus près à ce phénomène et commencer la pratique de la géobiologie. Il est considéré par beaucoup comme un des pères de la géobiologie ‘’moderne’’.

Nous pourrions continuer longtemps cette énumération tellement, depuis les années 1920, nous avons vécu une explosion de la redécouverte des énergies cosmo/tellurique. Elles ont été pensées, expliquées et disséquées par de très nombreux chercheurs. Pour cela ils ont créé des nouveaux outils de détection, échafaudé d’innombrables théories et autres modèles de construction de notre divine Gaïa. Vous trouverez de très nombres livres sur le sujet et peut-être quelques-uns rentreront en résonnance avec vos propres convictions. 

Futur de la géobiologie

La fameuse date du 21 décembre 2012  a permis, auprès du grand public, l’hypothèse  d’un changement de paradigme. La Grande Catastrophe n’a bien évidement pas eu lieu mais, le non moins fameux calendrier Maya nous indiquait effectivement une fin de cycle. Il n’était pas le seul, loin sans faut, à prophétiser l’avènement d’une nouvelle ère. Toutes les Traditions sont d’accords sur le fait que celle-ci est en marche.

Les sentients de tout poil ont profondément ressenti l’ouverture du portail vibratoire de ce nouveau paradigme. Ces montées vibratoires cosmiques sont exponentielles et elles ne sont pas prêtes de s’arrêter.

 Elles ont déjà permises à l’humanité d’avoir un début de vision différente du monde qui l’entoure et une ouverture du ‘’cœur’’. Mais on ne passe pas impunément  de l’âge de fer à celui de l’or. On ne passe pas d’un monde profondément matérialiste à un autre basé sur une vibration d’amour sans quelques ajustements. Le ‘’vieux’’ modèle/monde, tel une bête acculée qui se défend, fait tout pour garder ses privilèges. Cette société malade ne peut pas de toutes manières s’opposée à des cycles vibratoires cosmique.

Bref nous voilà donc, mes amis, en route pour de nouvelles aventures dans un monde beaucoup plus vibratoire. Un monde de ressenti où toutes nos perceptions nous sont plus facilement accessibles. De ce fait revenons à nos moutons, quid de la géobiologie ?

De plus en plus de confrères, en tous cas ceux qui sont capables de passer outre les préceptes et dogmes limitant appris, se rendent compte que l’on est passé à autre choses.

Pour cela il faut arriver à se libérer, à transmuter tout ce que l’on nous a inculqué. Avoir la curiosité de son ressenti et se faire confiance. Cela ne veut pas dire rejeter le savoir ancien mais le voir par un prisme différent. Etre attentif à nos perceptions les plus subtiles, être le plus possible en conscience. Cette conception bien attendue ne se limite pas à la seule géobiologie

Un des premier ‘’nouveau’’ réseaux que nous avons redécouvert est le ‘’ réseau cristallin ‘’, la grille cristalline, qui nous permis d’appréhender la vibration des cristaux et de leurs réseaux globaux. Il confirma la ‘’montée vibratoire ‘’ et ouvrit la porte à de nouvelles recherches. Nous découvrons donc de ‘’nouveaux réseaux’’, de nouvelles cheminées cosmo/tellurique avec qui une possibilité d’inter action plus importante est possible, des vortex qui deviennent triples, nous devinons l’existence de ‘’réseaux stellaires’’ mouvants impactant notre planète, de réseaux non fractal a double polarité etc… C’est un chamboulement total pour tous les chercheurs capables d’aller au-delà de leurs apprentissages et leurs croyances.

En fait tout cela a toujours existé. Nous n’étions juste pas capables de le percevoir. Et grâce à ces montées vibratoires de plus en plus importantes nous accédons à d’autres plants de conscience de la terre et ce n’est qu’un début. Le savoir géobiologique classique devient de moins en moins cohérent et il nous faut donc nous réinventer.

Quelles sont les voies que nous ouvre ce nouveau paradigme ? Allons-nous, comme nos illustres prédécesseurs,  nous escrimer a essayer de dénombrer, mesurer, commenter et surtout nommer ces ‘’nouveaux’’ phénomènes énergétique ? Un travail titanesque et inutile si ce n’est la satisfaction de l’égo d’avoir ‘’son’’ réseau, sa trouvaille que l’on défendra bec et ongle. Titanesque par leurs nombres et leurs variétés et inutile par la longue et inexorable montée vibratoire. Si l’on en croît les Traditions, ainsi que nos propres ressenti, celles-ci devraient durer longtemps, très longtemps et être de plus en plus importantes. Ceux qui veut dire la découverte de nouveaux ‘’phénomènes’’ quasi permanente aux propriétés extraordinaires. 

Alors comment établir un nouveau registre de la géobiologie ? Il ne faut pas. En tous cas pas encore. Laissons l’humain s’imprégner de cette nouvelle vibration, la digérer, l’intégrer. Laissons enfin une chance à notre ressenti et laissons les vieux dogmes au placard. Faisons taire ce mental limitant et essayons de nous libérer de l’emprise du ‘’savoir’’ et allons, dans la joie et sans peur, vers le ‘’faire’’ et le ‘’sentir’’.  

Du coup on fait quoi ? Commençons par faire descendre nos pensées aux niveaux de notre cœur. Ne pensons plu mais ressentons les choses. Changeons les filtres du prisme. 

Je prône le « faire », l’expérimentation,  devenons des « faiseurs ».

Des faiseurs du ressenti.

A bientôt.

Vincent

Pour une ouverture vers un nouveau paradigme voici un lien vers le cours de science unifiée de Nassim Haramein

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